Le sommet de la gamme DS a deux moteurs: un diesel et un électrique, le premier agit sur les roues avant, le second sur celles de l’arrière. Avantage: on a les capacités de traction sur les quatre roues lorsqu’on en a besoin. Et on profite des deux moteurs pour disposer d’une puissance plus marquante.
Le choix de l’originalité
La silhouette a été remodelée, elle apparaît plus fluide et la nouvelle calandre accentue son caractère. A l’intérieur, l’espace longitudinal est suffisant, la pente du toit limite les fauteuils arrière à des personnes n’atteignant pas la taille des basketteurs. Le décor de notre voiture de test, la mieux dotée, reprend les sièges en cuir au dessin dit «en bracelet de montre». Le conducteur est assis dans un cockpit rappelant l’aéronautique, avec des boutons en haut qui commandent, c’est logique, tout ce qui se trouve sur la partie supérieure du tableau de bord. Comme l’affichage tête haute, clair et pratique, ou les rideaux du double toit transparent.
La consommation officielle de 3,5 l./100 km est évidemment théorique et correspond au cycle de mesure. Sur des parcours variés, notamment autoroutiers, compter autour des 6 l./100 km: très raisonnable.
Système à choix
Le conducteur peut choisir entre un mode Normal, utilisant les deux motorisations en fonction de besoins. Ou Sport, où les deux s’additionnent pour davantage de dynamisme. Ou 4x4, le diesel pour la traction, l’électrique pour la propulsion, afin d’affronter la neige.
Le soin du détail et du design distingue cette DS 5 Hybrid de la concurrence. Le sabre en métal brossé longeant le capot a des rappels à l’intérieur, qui se combinent avec d’autres dessins hors du commun. Son petit inconvénient: un coffre un peu juste.
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