Le mariage du SUV et du break

SSANGYONG XLV • Venu bousculer le marché des SUV compacts, le Tivoli perd son nom en gagnant du coffre.

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Le Tivoli a plu avec une ligne séduisante. Pourquoi ce nom? Lisez-le à l’envers: ILOVIT! Le XLV reprend sa partie avant, mais Ssangyong a ajouté des centimètres pour augmenter ses capacités de chargement. De profil, cela alourdit le visuel à l’arrière, et les discussions s’animent. Passons, ouvrons le hayon et constatons: le plancher se positionne à plusieurs niveaux et le volume est pour le moins généreux.

Habitabilité

En restant sous les 4,50 m. de longueur, le XLV conserve une capacité de se garer en ville. Il a un atout sérieux dans sa manche: la transmission intégrale. Il existe bien sûr en 2 roues motrices aussi, mais le 4x4 est un must dans notre pays, avec un blocage du différentiel pour se sortir des situations les plus inextricables.

Le moteur de 115 ch. ne prétend pas vous secouer par ses performances. Il suffit largement pour un usage courant, et en utilisant souvent la boîte à 6 rapports on obtient de bonnes réactions. Toutefois, les premiers tours de routes sont parfois un peu laborieux, au point que j’ai calé le premier jour.

La place dévolue aux occupants est généreuse. Le conducteur est soigné: le volant peut avoir différents niveaux de sensibilité, la plus directe est Sport. Il a aussi un siège chauffant et, plus rare dans le segment, ventilé… mais pas son passager. La version Sapphire est la mieux équipée et comprend un navigateur Tomtom. Il ne conserve pas les réglages, ce qui agace, mais c’est un détail. Autre particularité: le lave-glace effectue deux jets, sans rien vous demander. Comme un clin d’œil pour montrer qu’un Ssangyong peut vous offrir un certain luxe.

SSANGYONG XLV - Notre avis & Carte de visite

Cette conférence permettra d’échanger des idées et des réflexions sur la natation suisse, qui a connu ses heures de gloire avec quelques champions d’exception, qui participeront aux débats. Parmi ces hôtes de marque, citons Dano Halsall, l’unique nageur suisse recordman du monde, Etienne Dagon, médaillé de bronze aux JO de Los Angeles (1984) ou encore Marie-Thérèse Armentero, 3e des Mondiaux de Madrid (1986). Seront également présents: Anthony Ulrich, ex entraîneur national, Nicola Cassio, coach du Genève Natation, Christophe Jacot, organisateur de la Coupe de Noël et Catherine Pléwinski, double médaillée olympique. Beau plateau.