CœUR Pendant ces jours de Fêtes, hommage à tous ceux qui travaillent, pour agrémenter la vie de ceux qui ont la chance de décrocher un peu. Je pense notamment aux gens qui entretiennent les routes, assument les fonctions de police, aux métiers de la santé. Mais aussi aux artistes qui nous divertissent au passage de l’An. Aux transporteurs de vivres. Et puis, voyez-vous, je pense aux bouchers, ou garçons d’abattoirs: pour ceux d’entre nous qui mangent de la viande, il faut bien que d’autres l’aient tué, puis préparé, l’animal que nous acceptons de déguster. Je pense aussi aux conducteurs de trains, de bus et de trams. Et à tous ceux qui restent sur le pont. A eux, en priorité, mes vœux et ma reconnaissance.
GRIFFE Annoncé vendredi 19 décembre par l’Agence Decaprod, le départ de Michèle Righetti constitue un coup dur de plus pour Pierre Maudet. Mme Righetti était entrée en fonction le 1er janvier 2014, pour succéder, à la tête de l’Office cantonal de la détention, à Sandra Favre de Oliveira, et surtout pour mettre fin au climat délétère généré par l’affaire de la Pâquerette. Mme Righetti avait d’ailleurs fait très bonne impression, ce qui rend d’autant plus saumâtre pour Pierre Maudet son départ. A la vérité, dans ce secteur, les cadres valsent à tel point qu’ils pulvérisent les records d’évasion. Dès lors, pourquoi tant de départs? Où faut-il en chercher la cause? Peut-être faudrait-il oser ces questions-là, non?