FRATERNITÉ

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Le 4 février, c’était la Journée mondiale contre le cancer, doublée de la Journée internationale de la fraternité humaine. En temps de Covid – qui bouleverse, dure et perdure – je me sens en lien avec des personnes malades, isolées pour leurs soins. J’imagine leurs doutes et leurs angoisses au quotidien sur ce chemin difficile. Il faut être fort, confiant, positif, alors que tout autour de vous n’est que grisaille, perte ou découragement. Alors, un «rien» permet de résister: un petit mot gentil, un geste solidaire (livraison de courses) ou un «bonjour» doublé d’un sourire (même à travers un masque, c’est perceptible). Toutes ces petites choses qui se révèlent d’une importance capitale, presque vitale, pour continuer la route et s’accrocher. Et croire à des lendemains meilleurs et à une santé recouvrée. Et, bien sûr, (re)trouver du réconfort par des «riens» fraternels.

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