ÉVÉNEMENT • Une vingtaine d’œuvres vont éblouir la cité du 27 janvier au 5 février. Cette année, Geneva Lux a réussi le tour de force de présenter des installations à faible consommation énergétique. Des panneaux descriptifs afficheront d’ailleurs les puissances électriques de chaque réalisation.
Le chant des sirènes, FloWeR PoWeR, Lotus ou encore Spark Ballet sont autant d’œuvres engagées et engageantes. Voire «des brèches poétiques sous le stratus genevois», comme le souligne le directeur artistique François Moncarey sur le site de la manifestation. Le maître de cérémonie de ce ballet lumineux a imaginé chaque installation comme autant d’expérimentations de sobriété et d’autosuffisance énergétique.
Certaines œuvres sont animées par le soleil, le vent ou la puissance de l’eau. D’autres nécessiteront aussi l’intervention du public… pour être actionnées. «Malgré les contraintes énergétiques, Geneva Lux saura vous surprendre et réussira à faire briller la Ville», rappelle la maire de Genève Marie Barbey-Chappuis.
Une ouverture enflammée
Pour ouvrir le bal vendredi 27 janvier, le Geneva Lux Festival propose un spectacle de dompteurs de flammes et d’étincelles. Une marche partira depuis l’œuvre Le chant des sirènes au Jardin anglais, à la suite d’un concert inédit de la chanteuse lyrique Claire Michel de Haas.
Les promoteurs du festival ont mis en place des parcours selon diverses thématiques. Des itinéraires courts sont prévus pour les jeunes visiteurs. A noter que la sélection donne accès à la distance et à la durée de chaque parcours. Des tags permettent de filtrer les œuvres en fonction de leur catégorie: eau, autonome ou encore musicale.
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