S’EST INTÉRESSÉ au premier épisode d’une série qu’un quotidien consacre aux femmes qui, dans l’histoire, ont marqué la vie genevoise. Et il a appris en le lisant «qu’à Genève, 93% des personnes ayant donné leur nom à une rue sont des hommes».
Il est vrai que trop longtemps, notre société patriarcale a divisé le domaine public en deux: les rues pour les messieurs, les trottoirs pour les dames.
PREND CONNAISSANCE, toujours au chapitre de l’égalité, du résultat d’une étude menée pour le compte de la Confédération et qui nous apprend que sur le marché du travail, «une grossesse sur sept finit par un licenciement». Ce qui fait beaucoup. Ce qu’on ne sait pas en revanche, c’est combien d’engagements finissent par une grossesse.
A DÉCOUVERT qu’un informaticien saint-gallois veut lancer une initiative pour abolir l’utilisation obligatoire du macaron «CH» au dos des voitures! Ce qui amène «Le Gniolu» à cette grande question: comment venir en aide à ces gens qui n’ont absolument rien à faire de leur existence? Même s’ils ne veulent pas l’avouer, cela doit être une grande souffrance. Le recours à «Exit» serait-il envisageable?
REMARQUE que deux stars du football se retrouvent confrontées aujourd’hui aux mêmes ennuis judiciaires. Mais en l’occurrence et contrairement à l’habitude, ceux-ci n’ont rien à voir avec le fisc, des plaintes ayant été déposées contre ces joueurs pour viol. On veut bien sûr parler de celles visant Ronaldo et Neymar, cette dernière affaire déchirant aujourd’hui tout le Brésil entre partisans du joueur et les autres. Il a peut-être falloir faire appel à l’arbitrage vidéo?
APPREND qu’il existe en pharmacie des autotests pour détecter une intolérance au gluten. Petit hic: ceux-ci s’avèrent souvent inutiles, ces produits ne détectant que la forme la plus sévère d’intolérance. Fort heureusement, il existe un autre autotest nettement plus efficace: manger du gluten.
A LU ce titre à la une d’un journal dominical: «Riche en terres rares, la Suisse pourrait ouvrir des mines.» Le retour possible des mineurs, voilà qui doit réjouir la Conférence des évêques.