Le Théâtre de Carouge, lieu de création depuis bientôt soixante ans, veut prendre davantage le temps… éblouir son public! Jean Liermier, son directeur, se félicite de ce temps «d’attente» avant la grande mue. Jusqu’en février 2018, cinq temps forts vont se succéder. Le Malade imaginaire de Molière, dévolu à la jeunesse, est proposé par le Théâtre amateurs de Carouge. Suit La Saga des Géants, un projet hors-norme et d’une force poétique XXL, via des marionnettes à fils gigantesques. Début 2018, est programmé Cold Blood (photo), un trésor dans l’univers du modèle réduit, où les doigts seront les héros de décors cinématographiques. Toujours dans la magie du cinéma, vient Le Chant du cygne de Tchekhov avec un Roger Jendly en grande forme. Une saison magique, «une sublime maternité à spectacles», conclut Jean Liermier. SJ