Histoire de célébrer comme il se doit les 500 ans de la disparition de Léonard de Vinci, le Théâtre de l’Orangerie propose, du 10 au 21 septembre, la pièce Io, Léonardo. On y découvrira les dessous de la démarche créative du génie italien: des machines volantes inspirées du vol des oiseaux, sa maîtrise de la lumière et de la perspective, mais aussi des planches d’anatomie. Fortement ancré dans la nature de son époque, Léonard de Vinci a su en percer les secrets, s’attachant à en saisir les moindres détails pour affiner sa compréhension du monde. Celui qui était à la fois sculpteur, architecte, botaniste, musicien et ingénieur a marqué son temps grâce à son indéfectible curiosité et sa capacité exceptionnelle à observer tout ce qui l’entoure. Avec un but, concevoir des inventions extraordinaires. Pietro Musillo, initiateur du projet, incarnera ce savant mythique sous l’œil précis du metteur en scène Gilles Tschudi.
«Io, Léonardo», Théâtre de l’Orangerie, du 10 au 21 septembre, www.theatreorangerie.ch