Gourmand et gourmets

  • dr

    dr

  •  Hélène Vibourel

    Hélène Vibourel

GOURMAND ET GOURMET, le Carougeois? On pourrait se poser la question, car à chaque coin de rue, la tentation n’est pas loin et les artisans des métiers de bouche sont présents à foison. Le chaland n’a que l’embarras du choix pour faire ses emplettes auprès des chocolatiers, pâtissiers, bouchers, charcutiers, traiteurs… Bistros, bouchons et débits de boissons ont aussi la part belle. Il faut rappeler qu’autrefois à Carouge, le vin était meilleur marché qu’à Genève et la commune était aussi célèbre grâce à ses brasseurs! Une plaque commémorative, rue Jacques-Dalphin, rappelle ce fait du passé et l’existence d’une brasserie achetée par Charles Champendal en 1893, mécène et bienfaiteur de la cité. Pour la petite anecdote, à cette époque, les habitants de la ville sarde refusaient qu’on leur serve de la bière autre que la chope «carougeoise».

GOURMETS, les clients du bistro, Les Dix Vins, au 31 rue Jacques-Dalphin, où l’on aime festoyer entre amis autour d’un bon petit plat consistant.