SJ • L’humour d’Hanock Levine est féroce. Le dramaturge et metteur en scène aime à mettre le doigt sur ce qui fait mal. Nos points les plus «sensibles», que ce soit dans notre intimité ou en politique. Il aime dévoiler notre humanité dans toute sa noirceur, mais aussi sa fragilité, son entêtement et son aspiration à la grandeur. Là, les spectateurs vont se retrouver happer dans un Cabaret, autour de quelques tables, d’un piano pour boire un verre. L’occasion de chanter, de rire et de se dire joyeusement ses quatre vérités.
«Cabaret», jusqu’au 6 avril, à la Comédie, Studio Claude Stratz, www.comedie.ch