Comédie de Genève: rconter notre époque

  • La Comédie de Genève souhaite utiliser le théâtre comme un outil de rapprochement. DR

    La Comédie de Genève souhaite utiliser le théâtre comme un outil de rapprochement. DR

Le théâtre comme espace de l’Autre, c’est le fil de rouge de la nouvelle saison de la Comédie de Genève. Tout commence le 30 août prochain avec Perdre son sac, un spectacle ultra-contemporain de Pascal Rambert et Denis Maillefer. Dans la rue, une jeune laveuse de vitrines s’adresse aux passants pour dire sa solitude, sa colère, son incompréhension face à un monde que certains estiment divisé entre «les gens qui réussissent» et «les gens qui ne sont rien».

Du 9 octobre 2019 au 28 mars 2020, Invisible accueillera 40 performances dans l’espace public. Cet événement unique enverra les spectateurs dans un café, un train, un magasin, pour y opérer des minuscules interventions. Notons encore Para, prévu du 10 au 14 octobre prochains, qui fait suite à Mission, une production qui avait ému aux larmes le public de la Comédie. Cette fois-ci, la parole est donnée à un soldat engagé en 1992 dans une opération internationale de pacification en Somalie. Mais qui n’était pas préparé à cette mission. 

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