Utiliser les réseaux sociaux pour publier des photos de cadavres me révulse. Un employé du service funéraire d’un hôpital à Lyon (France) a été immédiatement suspendu et mis en examen pour atteinte à la vie privée. La paix des morts, ça lui parle? Vous imaginez les familles, déjà dans le chagrin, savoir que le corps mort de leur parent (maman, papa, sœur, frère, fils, fille…) est donné «en pâture» au monde du net par un employé mal intentionné. Ses intentions sont, pour l’heure, «floues». On ne peut être que flou – et fou – pour rendre publiques des images de personnes décédées. Et penser que se mettre «en avant» avec de tels desseins va ravir les foules. Peut-être quelques-uns, il y a des fous partout… Mais pas tout le monde. Heureusement, grâce à plusieurs personnes, l’indélicat a été dénoncé. Et évincé!