SE DIT qu’étant donné qu’une femme préside la Confédération helvétique en 2020, il fallait bien que celle-ci se fende d’un petit mot d’encouragement (ça ne mange pas de pain) à l’occasion de la grève des femmes. Ce qu’elle a fait dans un journal dominical: «Pour Simonetta Sommaruga, la crise du corona n’a pas effacé la journée du 14 juin.» C’est tellement vrai qu’aujourd’hui, les infirmières et les caissières de supermarchés ne savent plus quoi faire de leur argent!
A LU ce papier d’un quotidien de ce bout-ci du lac Léman sur le casse-tête que représente le conseiller d’Etat Pierre Maudet pour le PLR local et son président Bertrand Reich, qui ne savent toujours pas si le champion des voyages gratis va se représenter ou non. Ce qui amène le journal à titrer: «Le PLR genevois convalescent.» Et ceci depuis plus d’un an. C’est dire que le «Maudet-virus» semble plus tenace que le Covid-19.
S’EST MARRÉ en entendant certains qualifier de «surprise» le fait que Mathias Reynard renonce finalement à briguer la présidence du PSS (parti socialiste suisse) pour se présenter au gouvernement valaisan! Quand on sait que le salaire de président de parti est de 50’000 francs par an et que celui d’un conseiller d’Etat valaisan atteint les 300’000, la surprise est tout de suite moins surprenante…
REMARQUE qu’un journal genevois de couleur bleue s’est intéressée de près aux difficultés de nos concitoyens de plus de 50 ans qui ne retrouvent pas de boulot et que la crise du coronavirus a encore plus précarisés. Avec ce titre choc: «Comment un Genevois vit avec 10 francs par jour.» En l’occurrence, il n’y a que «vit» qui soit de trop.