Patrick a accompagné son épouse, Maria Cristina, malade d’un cancer incurable, chaque minute, chaque seconde, avec amour et abnégation. Elle est devenue de plus en plus dépendante et ne pouvait rester seule à la maison, sans une équipe de soignants. A son décès, il réfléchit et revient sur ce parcours, particulier: comment soulager davantage les personnes gravement malades et/ou en fin de vie qui souhaitent rester chez elles? Il fonde l’Association Maria Cristina qui propose des soins de «confort» et de «mieux-être». Des «petites bulles» de bonheur qu’il est bon de mettre en avant dans cette chronique. Je n’oublie pas d’ajouter à cette association familiale et chaleureuse un autre centre dévoué et dévolu à des malades atteints de cancer et en soins palliatifs, le Centre Otium, engagé notamment à l’amélioration de leur qualité de vie.
Soins en fin de vie
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