Au cours de la pandémie, la fortune des dix plus riches du monde est passée de 700 à 1500 milliards de dollars, alors que 160 millions de personnes basculaient dans la pauvreté. En Suisse, les 300 plus riches possèdent plus de 800 milliards de francs. 0,3% des contribuables détiennent 32% de la fortune déclarée. Ce groupe dispose d’une fortune supérieure à celle détenue ensemble par 90% de la population de notre pays. Une plus grande contribution de ces immenses fortunes au financement des services à la population (santé, éducation, AVS, etc.) s’impose de manière évidente. Cela permettrait d’assurer des conditions de vie digne à toutes et à tous, notamment aux retraité(e)s.
Et pourtant… Le conseiller fédéral Ueli Maurer propose aux cantons de réduire les impôts des super-riches. La majorité de droite du Parlement fédéral biffe des impôts qui touchent les actionnaires. A Genève, ces mêmes partis limitent la progressivité de l’impôt pour les plus hauts revenus.
La bataille politique pour défendre et renforcer la justice sociale et fiscale est féroce. Je me suis engagé à la mener. Mais, il faut surtout la gagner. Et ça, c’est avec les Genevoises et les Genevois lors de chaque votation!