A ce jour, la Suisse comptabilise un peu plus de vingt femmes, mortes sous les coups d’un mari ou d’un compagnon. Toutes les deux semaines, les visages – floutés, heureusement! – de ces femmes s’affichent sur les «Unes» des journaux… Souvent, elles ont annoncé, à la police, leur immense peur face à l’horreur vécue, d’autres n’ont pas osé de peur des représailles… Que faire? Difficile de répondre… Plusieurs pistes, peut-être, comme éduquer autant les garçons que les filles pour que la violence ne soit pas acceptée et banalisée. Aucun coup n’est justifiable! Mais il faut aussi changer la législation avec comme but de faire reconnaître les victimes, les écouter pleinement et les aider. Vraiment! Pour ne plus à avoir à afficher des visages de femmes qui ont souffert – et souffrent – dans leur corps et dans leur âme.
FÉMINICIDE
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